01.16.2012
Écrire, développer et se répandre sur approximativement 400 caractères à propos d’une évidence, enfin un constat comme ça, un peu à l’emporte-pièce, type « p’tain, ça dépote », c’est parfois fatigant. Et là dans le cas présent, ça l’est. Parce que c’est tout ce qui vient. Avec « One Wish » le producteur canadien Shash’u a trouvé la boucle. Rien à ajouter, rien à redire. Enfin peut-être trop de violons, le reste, ouais ça dépote.