09.26.2010

Le lupus érythémateux disséminé. Plus qu’un barbarisme, un assassin. James Yancey, alias Jay-Dee, l’a côtoyé avant d’en succomber en 2006. Il est en 2010 ce qu’il n’a jamais voulu être, une icône absolue, un prophète du real hip-hop.

Cet homme de l’ombre né à Detroit, dans le berceau de la Motown, fait partie de ces producteurs discrets, trop exaltés par leur musique pour chercher la moindre reconnaissance. Souvent volé, peu reconnu, le prodige a pourtant su imposer sa vision du rythme aux plus grands, soit en ses termes « Un beat de 1’40 qui défonce !».

Après l’hommage de The Roots ce début d’année (en dwd ici), Ta-ku s’essaye lui aussi au périlleux exercice qu’est l’hommage posthume.

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