07.07.2012

Chez Uplift, comme chez Mark Aubert et tant d’autres, on joue sur la perte, la dégradation du son. Sampler, boucler, écorcher. Ou comment défoncer un morceau dans les règles et lui insuffler quelque chose d’hypnotique. Un caractère obsédant – ou chiant, c’est selon – qui tient surtout à la structure répétitive des compositions. Une boucle, 3 minutes. Ca marche avec Four Seasons, Marvin Gaye et avec à peu près tout en fait.
Quelque part, l’arnaque du siècle.

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